Mons

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Décès de Jean-Claude Carpentier, bourgmestre faisant fonction de la ville de Mons.

Le Soir du 18/09/2006 a écrit:

Le mayeur de Mons est décédé


Le bourgmestre faisant fonction de la ville de Mons, Jean-Claude Carpentier, qui est décédé la nuit dernière, sera remplacé par le premier échevin Richard Biefnot.

C'est une perte gigantesque, car l'homme est aimé, il a consacré toute sa vie à nos concitoyens et s'est toujours acquitté de ses engagements avec honnêteté et courage, a déclaré Elio Di Rupo. Jean-Claude a accompli sa tâche de bourgmestre faisant fonction d'une manière remarquable, en suivant tous les dossiers, a encore indiqué le bourgmestre en titre.

Militant PS depuis 40 ans, le défunt avait notamment présidé le CPAS durant 10 ans, assuré des fonctions scabinales pendant 8 ans et un rôle de conseiller auprès de 10 ministres.



Le premier échevin de Mons, Richard Biefnot, sera bourgmestre faisant fonction jusqu'à l'installation du conseil communal issu des élections. Lors du prochain conseil, le 16 octobre, Jacqueline Père prêtera serment pour occuper le siège de conseiller laissé vacant par le décès de Jean-Claude Carpentier.

La liste PS pour le 8 octobre, sur laquelle il occupait la troisième place, ne peut plus faire l'objet d'une quelconque modification, a ajouté Elio Di Rupo. Mercredi, à 14 heures, une cérémonie d'hommage officielle se tiendra sur la Grand-Place, face à l'hôtel de ville et, à 14h30, le cortège funèbre se dirigera vers le crématorium, pour des funérailles dans l'intimité.

Les drapeaux de la Ville seront en berne et les services communaux respecteront un jour de deuil. Des livres de condoléances seront ouverts à l'hôtel de ville, au CHU Ambroise Paré, au CPAS et à l'AEDEC d'Hyon.

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(D'après Belga)

Une bière pour le carnaval

BINCHE En s'adressant à la brasserie La Binchoise pour créer cette boisson événementielle à l'occasion des festivités de la ducasse de la Trinité, la Ville de Mons a été séduite pour la souplesse de la PME. Sans doute également pour ses idées !

Après le succès remporté par La Rose des Remparts parfumée à la Framboise et initialement réalisée juste pour les Fêtes de septembre de Binche, le brasseur poursuit son exploration des coolers.

Également cataloguée comme boisson rafraîchissante à base de bière, la Doudou a été pensée dans cet esprit. Et il n'en restera pas là. Après les festivités montoises, la brasserie La Binchoise travaillera sur son projet de bière à l'occasion du... carnaval de Binche. Original, ce produit le sera également pour sa couleur puisqu'elle sera orange. Logique ! "Nous nourrissions le projet déjà pour cette année mais faute de temps, nous n'avons pas pu le mettre sur pied", ajoute Bruno Deghorain, brasseur et gérant de la brasserie créée en 1985, Nous préparerons ce cooler à base d'orange sanguine pour lui en donner la couleur."

Pour goûter ce produit ? Encore un peu de patience ! Le prochain carnaval est attendu pour les 3, 4 et 5 février 2008.

S. P.

Mais...d'ici-là, on va mourir de soif !

Mons Sans réaction, le déficit serait de 54,6 millions fin 2011

Les finances montoises en grand danger

SAINTGHISLAIN,VALERY - mercredi 20 juin 2007, 02:44

L es finances montoises sont en difficulté. Au point que lundi soir, deux élus de la majorité - Pascal Lafosse (PS) et Bernard Beugnies (MR) - se sont abstenus de voter l'amendement budgétaire soumis au conseil communal. Si Pascal Lafosse (PS) n'a pas prêté sa voix à la majorité PS-MR, c'est parce qu'il estime ne pas pouvoir approuver « un budget illégal », qui ne doit son équilibre qu'à l'obtention d'une dérogation auprès de la tutelle. Dans sa mouture initiale, le budget 2007 prévoyait en effet un prélèvement de 4,7 millions dans les provisions, une ponction de 1,4 million sur les réserves des exercices antérieurs et un apport salutaire Tonus de 6,9 millions.

« Et malgré ça, déplore Bernard Beugnies (MR), l'autre « abstentionniste », cela ne suffit pas. » Pour l'ex-chef de file des réformateurs, sans un plan d'économies rigoureux de 8 %, le déficit en fin de législature atteindra 54,6 millions ! Richard Miller, l'échevin des Finances MR, s'est déclaré « conscient d'un risque d'emballement des dépenses » et évoque sans détour « des mesures d'assainissement » pour le budget 2008.



Le déséquilibre provient notamment d'une hausse de 306.00 euros des frais de fonctionnement, dont quelques postes significatifs comme des frais de réception et de représentation de 28.000 euros pour le BAM, une hausse de la facture téléphonie (pompiers, clubs sportifs, écoles) pour 21.600 euros et le coût de l'organisation des élections (160.000 euros). L'échevin MR ne se voile pas la face. « La sonnette d'alarme est tirée », juge-t-il. Et la marge de manoeuvre est plus que réduite. « Nous avions déjà comprimé les frais de fonctionnement de 500.000 euros lors de l'élaboration du budget 2007. » Accroître la pression fiscale et/ou toucher au personnel ? Impopulaire. « Nous ne procédons déjà plus au remplacement suite à des départs naturels. » Richard Miller mise tout sur une révision du fonds des communes. « Liège et Charleroi ne peuvent plus bénéficier indéfiniment de privilèges au détriment des autres villes wallonnes. » Mais si la Région ne bronche pas, Mons va droit dans le mur.

http://www.lesoir.be/regions/hainaut/mons-sans-reaction-le-deficit-2007-06-20-535695.shtml

Mons A la belle saison, faut-il y interdire toute circulation dès midi ?

Trop de motos et d'autos sur la place

SAINTGHISLAIN,VALERY - samedi 23 juin 2007, 02:41

C 'est une question de goût. Pour Guillaume Hambye, conseiller CDH, en tout cas, c'est clair : il y a trop d'autos et, surtout, de motos sur la Grand-Place les jours de beau temps. C'est dangereux pour les enfants et ça gâche le paysage. « Les samedis et dimanches après-midi, alors qu'un public nombreux se presse sur les terrasses pour goûter à une quiétude bien méritée, un véritable rodéo de voitures et de motos se déroule », déplore Guillaume Hambye qui parle de « pollution visuelle, sonore et antiécologique ».

Le conseiller CDH suggère dès lors que l'on interdise toute circulation de véhicules à partir de midi à la belle saison, soit d'avril à octobre, à l'exception des cortèges pour les mariages, l'organisation d'événements particuliers ou pour des motifs d'accessibilité de la place aux personnes à mobilité réduite. Quant aux motos, Guillaume Hambye propose qu'elles aillent se parquer plus loin et plus face à l'hôtel de ville, rangées comme des petits soldats. « Pourquoi pas un emplacement spécial gratuit à côté du théâtre royal ? »

La Ville est consciente du problème des voitures. Elle a d'ailleurs anticipé d'une heure le relèvement des bornes le dimanche. L'accès à la place est désormais interdit aux voitures dès 14 heures (contre 15 heures auparavant et 20 heures en semaine). Les motards, c'est une autre histoire. pas question qu'ils aillent se garer plus loin. « Ils tiennent à garder leur bécane à l'oeil », avance la bourgmestre ff Catherine Houdart (PS). Mais elle promet que la police veillera à éviter les pétarades. Pour le reste, l'Horeca ne peut se permettre de froisser cette clientèle.

Mons Défectuosité de la fontaine de la Grand-Place

Un audit qui coule de source

Depuis son inauguration en mars 2006, la fontaine de la Grand-Place a fait couler plus d’encre que d’eau.

ROSSI,FRANCA - samedi 04 août 2007, 09:52

Actuellement à l’arrêt complet, la fontaine de la Grand-Place de Mons connaît divers dysfonctionnements, comme l’ont annoncé nos confrères de La Province. Le collège communal vient de désigner un bureau d’experts chargé de remettre un rapport sur les défectuosités des installations. « Après une concertation consensuelle, la Ville et l’entrepreneur ont estimé qu’un audit s’imposait. Depuis l’inauguration de la fontaine, des problèmes ponctuels sont survenus mais ils se sont ensuite multipliés. Il fallait donc une approche globale, explique Nicolas Martin, bourgmestre faisant fonction. Jusqu’à présent, la Ville n’est nullement lésée puisqu’elle avait conclu un contrat d’entretien très clair avec l’entrepreneur et qu’il n’y a donc pas de frais à notre charge. »

Un mal pour un bien ?



Étant donné les anomalies à répétition, comme des jets d’eau irréguliers et de faible portée, la Ville n’avait pas signé la réception définitive des travaux. « Nous attendons le rapport d’audit et, en fonction des conclusions, chacun prendra ses responsabilités », note Nicolas Martin. À titre personnel, il considère comme positif le questionnement général suscité par la mise à l’arrêt de la fontaine, « parce que cela montre qu’il y a une appropriation et qu’elle est désormais bel et bien intégrée à l’image de la Grand-Place ».

Le chef de file Écolo au conseil communal, Jean-Pierre Viseur, qui a souvent exprimé le scepticisme de son groupe politique à l’égard de l’investissement consenti pour cet aménagement, estime qu’il convient d’attendre le rapport d’audit. « Nous étions contre le projet en tant que tel, parce que les moyens financiers mis en œuvre auraient pu servir à autre chose. En ce qui concerne les problèmes techniques, cela semble complexe et il faut donc voir exactement d’où ils proviennent », ajoute-t-il. « Des Montois attendent que la fontaine soit remise en fonction, mais d’autres sont satisfaits de la situation actuelle, parce qu’ils disent qu’il y a moins de bruit et qu’il est à nouveau possible de converser aux terrasses des cafés proches », note encore Jean-Pierre Viseur.

La fontaine de la Grand-Place, inaugurée en mars 2006, représente un investissement de 565.000 euros (90 % subsidiés, le solde à charge de la Ville) et s’inscrit dans le projet de revitalisation du centre urbain. Mais, comme rétorquait souvent le bourgmestre Elio Di Rupo à ses détracteurs, elle fait jusqu’à présent couler beaucoup plus d’encre que d’eau. Les 90 jets sont donc à sec cet été. Vraiment dommage, selon les uns. Pour d’autres, ça s’arrose.

http://www.lesoir.be/regions/hainaut/mons-defectuosite-de-la-2007-08-04-543060.shtml

Waterschoot a écrit:

[[i]« parce que cela montre qu’il y a une appropriation et qu’elle est désormais bel et bien intégrée à l’image de la Grand-Place ».

Une image de la Grand Place, ou se trouve l'hotel de ville, ...
C'est à l'image dont la ville est gérée...

La City Parade à J -10
SAINTGHISLAIN,VALERY - jeudi 30 août 2007, 09:09

Mons. 150.000 personnes attendues le 8 septembre. La Ville et l'organisateur sont plutôt sereins pour accueillir cet évènement festif et musical. Circulation, sécurité, commerces : tout a été mis en œuvre pour limiter les perturbations.

Claude Van Cools, alias « El Divino », rêvait depuis trois ans d'organiser la City Parade à Mons. « Je connais bien la région : mon père habite Dour, quand j'étais petit je passais mes vacances à Montignies-sur-Roc et je viens chaque année au Doudou ! » La Ville, elle, attend beaucoup d'un événement « branché » qui devrait attirer 150.000 visiteurs (autant que l'an passé à Charleroi) et qui, encas de réussite, servira de vitrine à Mons 2015. À dix jours de la manifestation, les deux parties ont fait le point.

1La City Parade, c'est quoi ? Un événement festif, non violent et musical dont l'accès est gratuit, sauf pour le « closing festival » (aux Grands Prés à partir de 20 heures) dont l'entrée est à 20 euros en prévente. « C'est un grand carnaval de notre époque, une grande fête populaire avec un esprit un peu Flower Power puisque notre slogan cette année est : faites l'amour pas la guerre », confie l'organisateur.
Concrètement, 21 chars (des semi-remorques de 18 mètres de long) équipés de sonos diffusant de la musique techno vont sillonner une partie des boulevards montois. Après l'« opening Party » (de 16 à 18h30 à la Machine à Eau), le cortège prendra la direction des Grands Prés où le « closing festival » débute vers 21 heures.

2C'est dangereux ? Depuis qu'il l'organise, Claude Van Cools affirme n'avoir jamais rencontré de problèmes. « Lors de notre visite à Rotterdam, assure le commissaire en chef Garin, nous n'avons assisté à aucune bagarre ». 400 policiers et 200 stewards seront quand même sur le pied de guerre et un hélico filmera la manifestation pour envoyer les images au poste de commandement. Côté médical, 11 médecins et 23 infirmiers sont mobilisés. Les services de prévention seront présents en nombre, eux aussi, durant la City Parade.

3 Quelles perturbations sont à craindre ? « Le moins possible », demande le bourgmestre qui souhaite que la vie de ses administrés ne soit pas (trop) dérangée. C'est d'ailleurs pour cela que la manifestation a été postposée en fin de journée et se cantonnera à la périphérie. Les riverains seront toutefois concernés par des interdictions de stationner le jour-même. Ils vont recevoir un courrier leur expliquant tout, accompagné d'une paire de boules Quiès, au cas où ! Mais ceux qui veulent faire leur shopping ce samedi-là, n'ont rien à redouter : le centre-ville sera accessible et les commerces ouverts, idem aux Grands Prés.

4Comment venir à Mons ce jour-là ? Pour la City Parade, la SNCB met en place des trains spéciaux. Entre 8.000 et 10.000 personnes devraient opter pour ce mode de transport. Les autres, en voitures ou en cars, disposeront de quatre parkings gratuits d'une capacité totale de 8.000 places disséminés autour de la ville et à proximité de la gare. La grosse incertitude réside dans la capacité d'absorption du flux automobile par les trois accès autoroutiers montois (Jemappes, Mons et Nimy)

5Où s'informer ? Pour les Montois, la Ville met d'ores et déjà à disposition un numéro spécial (le 065 – 40.59.76) pour toute question relative au déroulement de l'événement. Pour le public de la City Parade, le mieux est de surfer sur le site de la manifestation (www.cityparade.be ou www.myspace.com/cityparade).

Je préfère ne pas dire ce que j'en pense pour rester poli.

... 400 policiers et 200 stewards seront quand même sur le pied de guerre et un hélico filmera la manifestation pour envoyer les images au poste de commandement. Côté médical, 11 médecins et 23 infirmiers sont mobilisés...

Sans compter le personnel qui sera chargé de nettoyer la crasse une fois le "cortège" passé.

Dans ce qui doit être la région la plus sinistrée du pays (C'est qui encore le bourgmestre?), a-t-on réellement les moyens pour de telles ... ?

Itradec : stop ou encore ?

SAINTGHISLAIN,VALERY - mardi 18 septembre 2007, 08:54

Havré. La filière déchets de Mons-Borinage-Centre joue sa survie. Si les cimentiers ne viennent pas à son secours, l'intercommunale pourrait cesser ses activités. 40 millions d'euros à la poubelle...

ANALYSE

La faute à ce satané fluff dont personne ne veut. Trop mouillé (35 % de taux d'humidité) et trop chloré pour les fours des cimentiers à qui il était pourtant initialement destiné quand la filière de traitement des déchets sur Mons-Borinage et le Centre a été lancée.


Résultat : chaque année, depuis quatre ans, la moitié des ordures ménagères triée dans les installations de Havré-Ghislage finit en décharge ! Ce sont grosso modo 40.000 tonnes de fluff qui sont ainsi enfouies sous terre alors que cette fraction combustible (constituée de papiers, tissus et plastiques divers) pourrait très soulager la facture en combustibles des cimentiers. En terme environnemental, c'est une hérésie. Et en terme financier, cette mise en décharge génère un surcoût (de l'ordre du million et demi d'euros chaque année) répercuté auprès des 23 communes affiliées. Or, cette ardoise ne va faire qu'augmenter avec le temps : de 70 euros la tonne en moyenne actuellement, elle pourrait atteindre le double d'ici 2010 !

Après des années de palabres, les responsables de l'intercommunale sont à deux doigts de finaliser un accord avec Holcim, CBR et CCB. Ces trois-là accepteraient de prendre chez eux, à parts quasi égales, 30.000 tonnes de fluff par an. Les derniers obstacles techniques pourraient être aisément surmontés via un investissement de 5 millions d'euros. L'acquisition d'appareillages de séchage, en compléments de techniques plus fines de récolte des déchets en amont, pourrait faire chuter le taux d'humidité actuel du fluff à 15 %.

27,7 millions de la Région

Avant de délier les cordons de la bourse – l'investissement serait certes subsidiable mais nécessiterait quand même un emprunt - Itradec veut savoir si le jeu en vaut la chandelle. C'est la question-même de l'utilité de l'intercommunale qui est en jeu : à quoi bon continuer à trier des déchets qui finiront de toute façon soit au dépotoir, soit dans un incinérateur ?

En arriver là serait un lamentable échec, doublé d'une aberration digne de figurer dans les « GTI », les « Grands Travaux Inutiles » : les installations et les équipements de Havré ont coûté la bagatelle de 40 millions d'euros, dont 27.758.000 euros avancés sous forme de subsides par la Région wallonne !

La balle est désormais dans le camp du secteur cimentier. Mais aussi de la Région wallonne qui pourrait jouer le rôle « d'arbitre », estime-t-on chez Itradec. Le gouvernement wallon dispose en effet d'un moyen de pression envers ces industriels. Le décret de mars 2006 prévoit notamment la mise en place d'une taxe sur la co-incinération. Les cimentiers pourraient en être exonérés s'ils s'impliquent volontairement dans un projet d'intérêt collectif.

Rien ne les oblige à préférer le fluff d'Itradec (la seule intercommunale dans ce cas en Wallonie) aux boues de dragage par exemple du MET. C'est là qu'au sein de l'intercommunale, on espère que la Région fera pencher la balance en sa faveur. Sinon ? Sinon, on met la clé sous le paillasson. Et tout ce qui devait aller dans les fours des cimentiers ira en décharge, le temps que cela sera encore permis. Ou sera incinéré. À Ipalle ou ailleurs. On n'en est pas là mais cela commence à « urger ». Même la tête de l'unité de biométhanisation où la fraction organique (déchets de cuisine, restes de repas ) des déchets ménagers est transformée en biogaz et en compost est mise à prix. Faute de collectes sélectives à grande échelle, un seul des deux digesteurs tourne actuellement à Havré.

Pourtant, les gens paient leurs taxes pour ces déchets et leur recyclage. Non?

Boh, une fois de plus, cela ne m'étonne pas DU TOUT!